Il y a maintenant, un ralentissement dans l’augmentation des prix immobilier.
Tous les sondages auprès des professionnels de l’immobilier, anticipent une baisse des prix, en glissement annuel de 8% à 10% dès le mois de septembre 2022.
Les tensions géopolitiques, l’augmentation des taux, le durcissement des conditions d’octroi de crédits, l’inflation galopante et la récente flambée des prix de l’immobilier, expliquent cela.
Au niveau national, la hausse n'est plus que d' 1,7% entre janvier et juin 2022, alors qu'elle flirtait avec les 4% sur la même période l'an dernier.
Environ 3,6% de progression pour les deux années précédentes. Même en 2018, la hausse des prix était supérieure à celle d'aujourd'hui. Désormais toutes les grandes villes sont en phase de stabilisation, voire de légère baisse comme à Paris, Montpellier et dans d’autres villes où la hausse récente a été la plus forte.
Seules les zones rurales affichent encore d'importantes hausses de prix sur un an glissant. Si on regarde l'évolution sur 6 mois (de janvier 2022 à fin juin 2022), la progression dépasse encore les 4,6% depuis le début de l'année mais, on était encore des 7.1% sur la même période un an avant. Et surtout, sur le seul mois de juin 2022 les prix commencent là aussi à caler avec seulement 0,6% de hausse en zones rurales.
C'est pourquoi, il est encore temps de vendre votre bien immobilier, le timing est idéal pour cela !
En tant qu’acquéreur, attendre n’est pas forcément la meilleure solution, car même si une baisse des prix est annoncée, elle sera en partie tout du moins ; contrebalancée par la hausse des taux attendue, et des conditions d’octroi de crédits plus difficiles.
Le marché devrait donc rester dynamique, même si une baisse des transactions est inéluctable compte tenu de l’environnement micro et macroéconomique.
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